La »ponction publique » est une entité qui regorge d’innombrables pourritures. Des magistrats partisans, des journalistes-griots des médias d’État, des médecins incompétents et véreux,des vermines de « gens-d’armes », des boulimiques ministres,et que dirais-je encore de ces « cons-de-tables » des comptabilités publiques?
La »ponction publique » est d’une légendaire puanteur, l’administration sélective est en état de putréfaction extrême et le voisinage est devenu un critère d’embauche: ça sent la mort de la conscience professionnelle.
Les universités gisent dans l’inconfort des infrastructures en mal d’équipements ludiques. Ces hauts lieux scientifiques,propagent l’odeur nauséabonde des trafics de notes. Être admise en grade supérieur,suppose la satisfaction sexuelle des minables pro-faussaires. Si vous êtes de belles étudiantes, ne creusez pas votre cerveau si vous avez de belles jambes,vous êtes sur la voie des mentions excellentes, mais à condition, de satisfaire les libidos des encadreurs.
La poubelle de l’histoire nationale est gigantesque car toutes sortes de déchets humains s’y trouvent. Les billets de banques remplacent les concours, l’argent sale dégage ses sales odeurs depuis la fosse de la « Doux-one”.
Je parlerais plus de cette douane qui jette ses uniformes au profit de l’effigie présidentielle, le culte de la personne alitée pour des brillantes carrières providentielles.
Ça sent la merde dans la question litigieuse d’un mandat à vie, d’un koudèisme voué à l’échec.
Ça pue la merde dans la corbeille de l’histoire nationale.
Ça sent le calvaire dans mes vers qui brandissent l’épée de damoclès sur la tête à l’enfer.
Tel un scribe des temps modernes, j’aimerais me faire entendre dans les hautes sphères de la fonction publique et de ses décideurs. L’inégalité de chances est évidente, les esprits tordus sont probants sous les immondices des départements, se cachent aussi l’ethnocentrisme, la censure, la prison, qui ont tendance à salir les hommes de plumes et les artistes de la vie. On n’est « mal-nés » quand on travaille dans l’excellence, on est « bâtard » quand on désire ardemment le vrai changement tant souhaité par les êtres de lumières.
La poubelle nationale ou corbeille de l’histoire tue lentement mais sûrement. Le richissime “gou-bernement” gouverne et ment dans une saleté indigne des pratiques islamiques et catholiques. L’hygiène des comptes publics, relève du domaine du passé, à présent les microbes en vestes taillées sur mesure, mangent les richesses nationales dans l’aveuglement des masses populaires. Quant une maison est sale, aucun bien-être n’est plus possible.
Face aux sonorités tonitruantes des sirènes révisionnistes, il faut faire la sourde oreille. Il faut boucher les voies nasales, il ne faut pas respirer l’air pollué de la »onction publique. »
À moins qu’on ne vide la corbeille.
À moins qu’on utilise les détergents pour mettre hors danger de nuisance, toutes ces bactéries humaines, qui parasitent notre système économique.
Vous savez quoi faire. Alors ne mangez plus votre piment dans ma bouche. J’en ai rien à foutre!
Et si vous passiez à l’action de pratiquer l’hygiène publique?
Amonothep BEA