La Guinée ne cesse d’enregistrer des cas de viol sur mineurs en dépit de l’Arsenal juridique national. De nombreuses familles victimes préfèrent troquer leur peine par le silence. C’est le cas de la petite Fatoumata à Yimbaya.
Le 23 mai dernier, la petite Fatoumata comme à ses habitudes ira chez les voisins jouer. Candide, elle sera prise par la main et introduite dans la chambre par un jeune homme qui doit avoir 8 fois son âge. Une fois dans la chambre, l’irréparable s’est finalement produit. La tante à la fillette ayant constaté son absence va accourir chez le voisin. Elle tombera sur Fatoumata transpirant à grosses gouttes, la culotte en partie abaissée et tenant un pagne en main.
La fillette lors de son bain, va exprimer des douleurs au niveau de son organe génital. Après vérification, sa tante constatera un léger saignement. Interrogée, la fillette déclare que le jeune qui l’a introduite dans la chambre, a touché à son ‘’coucou’’, un nom que sa mère a donné au vagin afin de marquer sa conscience sur l’importance de cet organe et toute la précaution qu’elle doit prendre pour empêcher que quelqu’un y touche.
Transportée en médecine légale, le rapport après examen, conclura que la fillette a été déflorée.
Le concessionnaire du domicile occupé par la famille victime, sous peut être l’influence du tuteur du jeune incriminé, menace de mettre à la porte ses occupants victimes qui deviennent encombrants à ses yeux.
Ce jour, malgré les recherches engagées par l’OPROGEM, le jeune incriminé est toujours en liberté. A ce jour, la mère de la fillette indique que sa fille est peut-être atteinte d’incontinence. Elle a dû mal à retenir ses urines.
La rédaction