Pour le double scrutin de ce dimanche 22 mars, la communauté des États d’Afrique de l’ouest (CEDEAO) n’enverra pas ces observateurs au compte de ces élections. Pour cause, l’institution reproche au régime Condé des élections non inclusives. Or, l’un des motifs principal de l’ajournement des scrutins du 1er mars, s’explique par le séjour des émissaires de la CEDEAO qui émis le souhait de faciliter le retour des leaders politiques exclus du processus.
Et en retour, la CEDEAO à travers son président de la Commission s’est ôtée à une requête qui lui a été adressée par le ministre des Affaires étrangères et des Guinéens de l’étranger.
Ci-dessous, la copie de lettre de réponse !
Mariam KANTE