L’un des principaux points concerne l’attitude des services de sécurité dont le rôle dans la gestion des manifestations est indexée. A ce propos, les parlementaires demandent la tenue d’une enquête immédiate, indépendante et impartiale sur toutes les allégations de recours excessif à la force contre des manifestants, ainsi que sur les mauvais traitements et de surpopulation dans les prisons.
Dans sa résolution, le parlement européen insiste pour que « les conclusions de cette enquête soient rendues publiques et les responsables soient déférés en justice devant un tribunal indépendant et impartial. » Pour ce qui est du massacre d’opposants le 28 septembre 2009, les élus européens demandent aux autorités de Guinéennes d’enquêter et de poursuivre, conformément aux normes internationales les membres des forces de sécurité contre lesquels il existe des preuves de responsabilité pénale pour des exactions passées et actuelles.
D’ailleurs, le parlement de Strasbourg souligne « la nécessité d’ouverture immédiate du procès du massacre du stade en 2009, des viols et des autres exactions, et d’apporter tout le soutien politique, technique et financier nécessaire à un procès crédible pour ces crimes, et de mettre en congé administratif les personnes occupant des postes gouvernementaux qui ont été accusées de crimes graves, notamment du massacre du stade en septembre 2009, et qui sont en mesure d’influencer ou semblent influencer toute enquête ou poursuite criminelle. »
Pour faciliter le processus, la résolution suggère une réforme des lois existantes en vue d’abroger toutes les dispositions accordant l’immunité judiciaire aux agents de l’État et garantissant des garanties telles que l’accès rapide et sans équivoque aux proches et aux avocats de toutes les personnes détenues. Et ce n’est pas tout. Car les parlementaires ont appelé instamment l’UE et ses États Membres de suspendre tout financement et de fourniture de matériel de sécurité et de répression aux forces de sécurité de Guinéennes.
Enfin, le parlement européen souhaite « une enquête indépendante sur les normes sociales et environnementales appliquées par les entreprises multinationales, en particulier dans le secteur des ressources naturelles et du port de Conakry ainsi que sur les liens que ces entreprises peuvent avoir avec la corruption, l’élection et le maintien au pouvoir de l’actuel président. »
Dans sa résolution, le parlement européen insiste pour que « les conclusions de cette enquête soient rendues publiques et les responsables soient déférés en justice devant un tribunal indépendant et impartial. » Pour ce qui est du massacre d’opposants le 28 septembre 2009, les élus européens demandent aux autorités de Guinéennes d’enquêter et de poursuivre, conformément aux normes internationales les membres des forces de sécurité contre lesquels il existe des preuves de responsabilité pénale pour des exactions passées et actuelles.
D’ailleurs, le parlement de Strasbourg souligne « la nécessité d’ouverture immédiate du procès du massacre du stade en 2009, des viols et des autres exactions, et d’apporter tout le soutien politique, technique et financier nécessaire à un procès crédible pour ces crimes, et de mettre en congé administratif les personnes occupant des postes gouvernementaux qui ont été accusées de crimes graves, notamment du massacre du stade en septembre 2009, et qui sont en mesure d’influencer ou semblent influencer toute enquête ou poursuite criminelle. »
Pour faciliter le processus, la résolution suggère une réforme des lois existantes en vue d’abroger toutes les dispositions accordant l’immunité judiciaire aux agents de l’État et garantissant des garanties telles que l’accès rapide et sans équivoque aux proches et aux avocats de toutes les personnes détenues. Et ce n’est pas tout. Car les parlementaires ont appelé instamment l’UE et ses États Membres de suspendre tout financement et de fourniture de matériel de sécurité et de répression aux forces de sécurité de Guinéennes.
Enfin, le parlement européen souhaite « une enquête indépendante sur les normes sociales et environnementales appliquées par les entreprises multinationales, en particulier dans le secteur des ressources naturelles et du port de Conakry ainsi que sur les liens que ces entreprises peuvent avoir avec la corruption, l’élection et le maintien au pouvoir de l’actuel président. »
Source: http://lepointplus.info/