L’association des anciens fonctionnaires et amis de Guéckedou (AAFAG), victimes de la rébellion de fin 1999 au début 2000, étaient face à la presse ce mardi à Conakry. L’objectif était d’interpeller les Guinéens sur la nécessité du maintien de la paix en cette période de crise sociopolitique.
Depuis plusieurs mois, les Guinéens sont divisés sur la situation d’un changement ou pas de la constitution en vigueur. Ce débat plonge aujourd’hui le pays dans une crise sociopolitique qui inquiète plus d’un. Prenant la mesure de la gravité de la situation, les victimes de la rébellion de Gueckedou, alertent pour éviter que le pays bascule dans le conflit.
« L’AAFAG, témoin privilégiée de ces tragédies qu’a connues cette préfecture d’accueil, ne saurait se confiner dans un silence coupable, au regard de la dégradation subite du climat sociopolitique du pays avec ses conséquences enregistrant de morts, de nombreux blessés, de dégâts matériels et d’impacts négatifs sur l’économie et le tissu social », explique les membres.
‘’La nécessité du maintien de la paix, de la consolidation de l’unité nationale dans la nouvelle crise sociopolitique guinéenne”, était le thème de cette rencontre des rescapés de la rébellion de Gueckedou. En développant cette thématique, les membres de l’Association des anciens fonctionnaires et amis de Gueckedou ont rappelé les moments fâcheux de la rébellion qui a secoué la ville de Guéckedou et qui a ôté la préfecture de son lustre d’antan. Dans les différents témoignages que l’on peut qualifier d’émouvants, ils ont signalé les conséquences à court et à long terme d’une crise.
« Les Guinéens ne méritent pas un tel traitement », évoque Dr Abdoul Mazid CHERIF, président de l’AAFAG.
Ces anciens fonctionnaires, appellent au sens de la responsabilité, d’esprit patriotique et de discernement de tous les acteurs sociopolitiques et l’ensemble des citoyens “épris de paix” pour le renforcement de l’unité nationale et le maintien de la paix, afin d’éviter que le pays ne plongedans une autrecatastrophecomme celle de la ville de Guéckedou.
Ainsi, ils se sont érigés en donneur de leçon. Et pour y aboutir, ils comptent à travers une invitation, rencontrer les protagonistes de la crise actuelle (la société civile, les acteurs de l’opposition et le gouvernement), autour de la table pour le dialogue.
Depuis plusieurs mois, les Guinéens sont divisés sur la situation d’un changement ou pas de la constitution en vigueur. Ce débat plonge aujourd’hui le pays dans une crise sociopolitique qui inquiète plus d’un. Prenant la mesure de la gravité de la situation, les victimes de la rébellion de Gueckedou, alertent pour éviter que le pays bascule dans le conflit.
« L’AAFAG, témoin privilégiée de ces tragédies qu’a connues cette préfecture d’accueil, ne saurait se confiner dans un silence coupable, au regard de la dégradation subite du climat sociopolitique du pays avec ses conséquences enregistrant de morts, de nombreux blessés, de dégâts matériels et d’impacts négatifs sur l’économie et le tissu social », explique les membres.
‘’La nécessité du maintien de la paix, de la consolidation de l’unité nationale dans la nouvelle crise sociopolitique guinéenne”, était le thème de cette rencontre des rescapés de la rébellion de Gueckedou. En développant cette thématique, les membres de l’Association des anciens fonctionnaires et amis de Gueckedou ont rappelé les moments fâcheux de la rébellion qui a secoué la ville de Guéckedou et qui a ôté la préfecture de son lustre d’antan. Dans les différents témoignages que l’on peut qualifier d’émouvants, ils ont signalé les conséquences à court et à long terme d’une crise.
« Les Guinéens ne méritent pas un tel traitement », évoque Dr Abdoul Mazid CHERIF, président de l’AAFAG.
Ces anciens fonctionnaires, appellent au sens de la responsabilité, d’esprit patriotique et de discernement de tous les acteurs sociopolitiques et l’ensemble des citoyens “épris de paix” pour le renforcement de l’unité nationale et le maintien de la paix, afin d’éviter que le pays ne plongedans une autrecatastrophecomme celle de la ville de Guéckedou.
Ainsi, ils se sont érigés en donneur de leçon. Et pour y aboutir, ils comptent à travers une invitation, rencontrer les protagonistes de la crise actuelle (la société civile, les acteurs de l’opposition et le gouvernement), autour de la table pour le dialogue.
Mariam KANTE