En prélude à la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse, la structure Wassolon Agency Communication, initie une formation à l’intention de 50 journalistes Guinéens. Issus de différents médias de la place, ces professionnels de la presse vont durant 2 jours, rafraîchir leur connaissance sur l’écriture journalistique et le délit de presse en Guinée. C’est le ministre de la communication Amara Somparé, qui a ouvert cette formation au siège de l’AGUIPE.
Rivaliser avec le contenu émotionnel, les fausses et vraies informations sans prise de position dans la définition des angles de traitement d’information, tout en restant dans le cadre professionnel pour la valorisation de la liberté de la presse, tel est l’objectif de cet atelier de formation. Le ministre de la communication en a profité pour interpeller les hommes de médias à la responsabilité.
« La presse est le quatrième pouvoir dans une démocratie et elle dispose d’une grande responsabilité. Derrière tout grand pouvoir, il y a une grande responsabilité. Plus vous avez le pouvoir, plus vous avez de la responsabilité. L’écriture journalistique, les faits que l’on rapporte est ce qu’ils sont vérifiés ? est ce qu’ils sont regroupés ? ce sont des rumeurs ? est ce qu’il y a une preuve ? Ce sont toutes ces informations qui constituent un élément. Derrière le style rédactionnel, il y a tout le travail d’enquête et de recherche qui doit se faire de façon professionnelle », martèle Amara Somparé, ministre de l’information et de la communication.
À rappeler que la Journée mondiale de la liberté de la presse, a été proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993 sur recommandation de la 26e session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. Cette liberté d’expression est essentielle à la bonne gouvernance et de ce fait, au progrès social. Elle contribue à améliorer la qualité de la gouvernance de diverses manières.
Les initiateurs de cette formation, ambitionnent que tous ces apports cités ci-haut, se fassent dans le professionnalisme par les hommes de médias.
Rivaliser avec le contenu émotionnel, les fausses et vraies informations sans prise de position dans la définition des angles de traitement d’information, tout en restant dans le cadre professionnel pour la valorisation de la liberté de la presse, tel est l’objectif de cet atelier de formation. Le ministre de la communication en a profité pour interpeller les hommes de médias à la responsabilité.
« La presse est le quatrième pouvoir dans une démocratie et elle dispose d’une grande responsabilité. Derrière tout grand pouvoir, il y a une grande responsabilité. Plus vous avez le pouvoir, plus vous avez de la responsabilité. L’écriture journalistique, les faits que l’on rapporte est ce qu’ils sont vérifiés ? est ce qu’ils sont regroupés ? ce sont des rumeurs ? est ce qu’il y a une preuve ? Ce sont toutes ces informations qui constituent un élément. Derrière le style rédactionnel, il y a tout le travail d’enquête et de recherche qui doit se faire de façon professionnelle », martèle Amara Somparé, ministre de l’information et de la communication.
À rappeler que la Journée mondiale de la liberté de la presse, a été proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993 sur recommandation de la 26e session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. Cette liberté d’expression est essentielle à la bonne gouvernance et de ce fait, au progrès social. Elle contribue à améliorer la qualité de la gouvernance de diverses manières.
Les initiateurs de cette formation, ambitionnent que tous ces apports cités ci-haut, se fassent dans le professionnalisme par les hommes de médias.
Maké FOFANA