« Nous venons respectueusement à travers ces quelques mots près de votre media, pour nous aider à porter notre voix au niveau du CNRD.
En effet, nous sommes plus de deux cent travailleurs qui ont des contrats C.D.I (contrat à durée indéterminé), sacrifiés par quelques ténors du gouvernement déchu au profit des membres de leurs familles et leurs proches. Le même acte enchaîné par quelques cadres et agents de maîtrise de russal/friguia, dépassant l’âge de la retraite de quatre à douze ans qui ont rempli l’usine par leurs fils, cousins, neveux, etc. Également, des postes sont monaiyés à notre détriment en violation flagrante de l’article 69 et 133.6 du code de travail qui stipulent : « L’employeur s’oblige à maintenir les effets du contrat de travail existant de l’employé qui l’accepte ».
« Il est interdit de faire appel aux services d’entreprises de travail temporaire pour remplacer les travailleurs grévistes.
La mise à disposition d’un travailleur temporaire auprès d’une entreprise utilisatrice ayant procéder à un licenciement économique dans les douzes mois précédents est subordonné à l’autorisation de l’inspecteur de travail du lieu qui doit s’assurer d’abord de la priorité d’embauche reconnue aux salariés de l’entreprise utilisatrice.
Les arrêtés du ministre en charge du travail détermineront également des travaux particulièrements dangereux pour lesquels le recours au travail temporaire est interdit apres avis de la commission consultative du travail et des lois sociales ».
Nous demandons humblement au CNRD à travers votre média, de nous rétablir dans notre droit.
Depuis avril 2018, l’usine a commencé de produire. C’est insupportable pour nous et nos familles et ça ne fait que perdurer.
Pour finir, nous vous remercions pour tout ce que vous faites pour le bas peuple et pour l’instauration de la justice dans notre chère Guinée.
Fria, le 01 mars 2022, les travailleurs »sacrifiés » du gouvernement dechu