Le président de l’UFDG se réjouit de la liberté partielle accordée, ce vendredi 16 juillet 2021, à Cherif Bah, Cellou Baldé , Abdoulaye Bah et Ousmane Gaoual Diallo, pour des raisons de santé. Cellou Dalein n’exclut cependant pas l’injustice et les préjudices physiques qu’ont subis ces opposants durant leur détention.
Dans un post publié quelque temps après la sortie de ses collègues
Sur sa page Facebook, le leader de l’UFDG a manifesté sa réjouissance, et aussi rappelé la détention « arbitraire » de cinq autres opposants.
« Je me réjouis pour mes collaborateurs qui vont retrouver la chaleur de la vie familiale et continuer à se soigner à domicile. Mais il ne faut jamais oublier qu’ils sont des innocents tout comme beaucoup de leurs camarades tels qu’Etienne Soropogui, Foniké Menguè et Ismael Condé qui croupissent en prison depuis plus de 8 mois ainsi que Keamou Bogola HABA, déféré hier à la maison centrale. Cette libération conditionnelle ne peut réparer, et même atténuer cette injustice et les préjudices physiques et moraux qu’elle a causés à ces innocentes victimes, à leurs familles et à l’UFDG, leur Parti», a-t-il posté.
Mariam KANTE