Le président de la République reporte le problème sans le résoudre. En reculant la date des législatives et du référendum initialement prévus ce dimanche 1er mars de deux semaines, Alpha Condé annonce que cela ne donne pas la possibilité aux partis politiques qui opté pour le boycott de revenir dans le processus électoral.
La CEDEAO doit alors accentuer sur le numéro 1 Guinéen avant qu’il ouvre les législatives à tous les partis politiques avec au préalables, la satisfaction des griefs contre le fichier électoral. En ce qui concerne le référendum constitutionnel, la communauté internationale doit pouvoir obtenir du chef de l’Etat la garantie qu’il ne se représentera pas pour un nouveau mandat à la tête de la Guinée.
En outres, Même le président de la cour constitutionnelle n’a pas été prévenu du report des deux scrutins. 14 milliards francs guinéens ont été mis à la disposition de la cour constitutionnelle pour son rôle à jouer durant ces deux élections.
Des véhicules neufs, 4×4 sortis d’usine à la disposition de chaque conseiller à la cour constitutionnelle. Certains d’entre eux sont délégués à l’intérieur du pays depuis quelques jours. Ni eux, ni le président de l’institution n’ont eu vent de ce report des législatives et du référendum. Le président de la cour constitutionnelle était pourtant au bureau tard pour les derniers réglages lié au paiement des primes personnel devant prendre part aux scrutins.
Mohamed lamine Bangoura