Lancement officiel ce lundi sur tout le territoire national, du Brevet d’Étude du Premier Cycle session 2019. Notre rédaction a constaté l’effectivité au lycée Elhadj Boubacar Biro Diallo de sangoyah dans la commune de Matoto. Dans ce centre, 378 candidats dont 188 filles étaient inscrits sur la liste. Au compte de la première journée, aucune anomalie n’a été signalée.
Après l’examen d’entrée en 7ème année, ce lundi 08 juillet 2019, le BEPC a démarré sur tout le territoire national. Au lycée Elhadj Boubacar Biro Diallo, tout comme dans les autres centres, les consignes étaient les mêmes pour le bon déroulement de examen.
<< Tous se passe bien pour le moment, les surveillants concernés ont répondu présent. Nous avons un règlement que tout un chacun de nous doit respecter. Pas de téléphone, procéder à la fouille corporelle des candidats avant leur entrée dans les salles, surtout surveiller correctement et efficacement en étant vigilant, attentif et juste >>, explique Alhassane Bérété, chef du centre.
La rédaction et l’histoire, les deux épreuves au compte de cette première journée. A la fin de la journée, certains candidats ont déclaré avoir eu quelques difficultés, mais restent cependant confiants.
<< Les sujets qui sont venus aujourd’hui, étaient difficile pour moi car, c’est pas ce que j’ai appris. Mais j’ai pu faire quelque chose même si j’étais un peu collé. Je suis sûr et certain que j’aurai mon BEPC si ça continue comme ça >>, exprime Mamoudou Sylla, candidat.
<< Tous s’est très bien passé pour moi aujourd’hui, les sujets étaient abordables et je suis contente parce que j’ai pu tout faire. S’agissant de la surveillance, c’était pas mal aussi en tout cas moi j’apprécie. Ce sont ceux qui copient qui vont se plaindre, si ça continue ainsi, moi j’aurai mon brevet >>, affirme Mariame Ciré Sylla, une candidate.
Plusieurs autres candidats intervenus hors micro et dans l’anonymat, ont laissé entendre que l’épreuve d’histoire n’était pas abordable.
Comme à l’examen d’entrée en 7ème année, les dispositifs sécuritaires et sanitaires sont restés les mêmes.
Mariame DIALLO