La résurrection du Slecg.
Pourtant il était mort.
Pourtant on était passer à autre chose.
Du moins on croyait que le »gou-bernement » avait porté le coup de glaive sur la colère infertile d’Aboubacar Soumah et sa horde syndicale. Bernement!
L’échos de la reprise d’une grève illimitée se fait entendre dépuis les abysses où les demons des crises tirent leurs épingles du jeu.
Trois mois après les fameux accords du 10 janvier, la grève des »gens-saignants » fait sa résurrection spectaculaire. Sa colère de vives flammes, sort de son tombeau après la violation des engagements gouvernementaux pour asphyxier le ton du slecg!
Mardi soir, la trompette s’agite et le slecg refait la une de »l’actu-alitée ».
Sa réssurection spontanée a pour cause, le viol commun des accords boîteux du 10 janvier 2019. Ce mercredi, la grève ressuscite d’entre les morts, avec les traces de l’enfer que portent les »gens-saignants » d’Aboubacar Soumah.
Le recensement des professeurs »grabataires » d’universités, marque le symbole des galères des « univers-cités » et le début d’une période expectative pour le »gou-bernement » avec à la tête, Monsieur de »Moriah faroteur des prémières gloires » de la république au détriment des rues publiques.
Il est impératif de prendre des mesures.
Il est nécéssaire de prôner le dialogue entre les deux parties conflictuelles.
Il est urgent de faire des ponctions sur le budget national et assouvir les besoins des plaintifs: la classe des prolétaires de l’éducation.
Il incombe aux syndiqués du slecg, de faire preuve de plus de patriotisme en faisant des concesessions positives.
À l’image de Jésus, le slecg et sa grève personnelle, ne devraient plus retourner à la mort.
Envoyer les au royaume des cieux. L’enfer n’est pas sûr!
Nos enfants sont emmerdants. Il faut les récaser!
Heureusement pour eux, pour nous et pour le « gou-bernement », la grève est suspendue.
Le slecg danse et sourit.
Aboubacar Soumah respire.
AmonHotep Béa