Les périodes préélectorales et postélectorales des scrutins couplés du 22 mars ont été marquées par violences meurtrières à travers le pays. Et les récents cas remontent des événements de la région forestière. Ce qui agace les affres du camp opposé.
Dans la capitale Conakry, le camp hostile à l’adoption de la nouvelle constitution a apporté des critiques acerbes à ces tueries. Au cours de sa première rencontre postélectorale, ce mercredi 25 mars, au QG d’un parti allié, un membre du front national était d’un air de déterré. Il se livre :
«A Conakry, c’est des cimetières qui sont attaqués. A Labé, c’est des mosquées qui sont profanées. En région forestière, c’est des églises qui sont brûlées. La Guinée est en train de perdre son âme », dira Faya Millimouno, leader du parti Bloc Libéral et membre du front.
Dans un ton mélancolique, Faya se rappelle des douloureux événements survenus à Womey, une localité du sud du pays. Constatant les indices similaires, le leader du BL, avec une anxiété, avoue que l’heure ne fait pas de bonne augure.
«Les informations qui nous parviennent de N’Zérékoré, sont suffisamment graves. Des milliers de guinéens sont aujourd’hui dans la forêt pour sauver leurs vies et dans une situation de pandémie. Ça nous rappelle Womey en 2014. Il y a des corps qu’on refuse de remettre aux parents pour qu’ils soient enterrés selon nos valeurs. Aujourd’hui, on ne peut pas dire exactement combien de guinéens ont perdu la vie à N’Zérékoré».
Pour contrarier ces tueries, Faya opte pour précocement étouffer les commanditaires, et de les contrer à commettre le pire: «Il faut agir avec plus de vigueur pour qu’Alpha Condé et les extrémistes qui sont au tour de lui, soient mis hors d’état de nuire», préconise Dr Faya Millimouno, membre du FNDC et leader du Bloc Libéral.
Dans la capitale Conakry, le camp hostile à l’adoption de la nouvelle constitution a apporté des critiques acerbes à ces tueries. Au cours de sa première rencontre postélectorale, ce mercredi 25 mars, au QG d’un parti allié, un membre du front national était d’un air de déterré. Il se livre :
«A Conakry, c’est des cimetières qui sont attaqués. A Labé, c’est des mosquées qui sont profanées. En région forestière, c’est des églises qui sont brûlées. La Guinée est en train de perdre son âme », dira Faya Millimouno, leader du parti Bloc Libéral et membre du front.
Dans un ton mélancolique, Faya se rappelle des douloureux événements survenus à Womey, une localité du sud du pays. Constatant les indices similaires, le leader du BL, avec une anxiété, avoue que l’heure ne fait pas de bonne augure.
«Les informations qui nous parviennent de N’Zérékoré, sont suffisamment graves. Des milliers de guinéens sont aujourd’hui dans la forêt pour sauver leurs vies et dans une situation de pandémie. Ça nous rappelle Womey en 2014. Il y a des corps qu’on refuse de remettre aux parents pour qu’ils soient enterrés selon nos valeurs. Aujourd’hui, on ne peut pas dire exactement combien de guinéens ont perdu la vie à N’Zérékoré».
Pour contrarier ces tueries, Faya opte pour précocement étouffer les commanditaires, et de les contrer à commettre le pire: «Il faut agir avec plus de vigueur pour qu’Alpha Condé et les extrémistes qui sont au tour de lui, soient mis hors d’état de nuire», préconise Dr Faya Millimouno, membre du FNDC et leader du Bloc Libéral.
Mariam KANTE