Selon le Directeur du Département Genre et Enfance à l’OPROGEM, que le dernier acte de viol exercé sur l’enfant victime a eu lieu le samedi 15 février 2020. Le présumé auteur profitait de la plaisanterie entre lui et la mère de la victime pour abuser de la petite fille. Après chaque acte, il donnait des petits sous à la fillette comme prime de silence.
Ce présumé violeur a été arrêté grâce à la collaboration de la BAC, du Commissariat de Gbéssia, que le fautif a été arrêté. « Nous avons pu mettre main sur le présumé auteur. Dans les consultations, il se trouve qu’il y avait une défloraison ancienne. A l’audition même du présumé auteur, il a dit qu’il n’était pas à sa première fois. Qu’il était presqu’à sa cinquième fois. On lui a demandé les autres cas se sont passés quand, il a dit qu’il ne se rappelle pas de la date. Il reconnait quand-même d’avoir eu des relations intime avec la fille », a expliqué Commissaire Henri Fac, chez nos confrères de Kalenews.
L’acte de viol a été confirmé par les médecins légistes grâce à des tests. Et ce qui pousse le commissaire Henri Fac a affirmé ce qui suit, « chez nous, le cas de viol c’est tolérance zéro. Dans les dernières heures qui vont suivre, le présumé sera présenté au procureur du tribunal compétent. La suite sera réservée à la justice pour l’application de la loi » a-t-il promis.
De son côté, le présumé auteur a reconnu son acte devant les hommes de médias. En outre, il faut signaler que les cas de viol sont devenus monnaie récurrente ces derniers temps à Conakry.
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La rédaction